Revue de presse du 6 janvier 2016

Bonjour,

Le Cédis, centre agréé de formation pour élu-es locaux spécialiste des thématiques écologiques et sociales, vous présente sa revue de presse hebdomadaire.

 Revue de presse du 6 janvier 2016 en intégralité sur notre site

Pour ce début d’année 2016, retrouvez notamment :

· L’installation des nouveaux conseils régionaux et le défi au long court des fusions de région qui ne fait que commencer, celles-ci ayant jusqu’à 5 ans pour « enclencher la phase d »harmonisation des politiques publiques », des services aux noms définitifs des régions (voir ici). En parallèle, la réorganisation s’opère aussi pour les services de l’État déconcentré, avec une nouvelle feuille de route (voir ici).

· Des analyses, bilans et perspectives de la politique de la ville, dont la sociologue Marie-Hélène Bacqué se fait la défenseure en estimant que si elle a ses limites, les déceptions de la politique de la ville viennent d’attentes trop élevées par rapport à ses moyens et ambitions (voir ici). L’occasion de faire un pré-bilan pour la nouvelle année des nouveaux contrats de ville 2015-2020 (voir ici), mais aussi d’évoquer la forte présence et le potentiel de l’économie sociale et solidaire dans les quartiers prioritaires (voir ici).

· L’avenir des services publics locaux, alors que deux enquêtes montrent que si les effectifs de la fonction publique territoriale ont légèrement augmenté en 2014 (voir ici), moins d’une collectivité locale sur six envisage de recruter en 2016 (voir ici). Une dynamique très liée à celle des regroupements intercommunaux et des mutualisations de service, très disparates à travers le territoire (voir ici).

Et pour info :

– Actu-Environnement publie une nouvelle infographie qui sous le prisme des nouvelles régions donne leur palmarès de production d’électricité d’origine renouvelable, selon le mode de production.

– L’Aitec publie une double infographie, expédition en territoire Tafta et voyage en terre alternative, qui « anticipe d’une part les conséquences sociales, économiques et environnementales du traité transatlantique UE-USA (Tafta) sur une commune française ordinaire de 3 000 habitants et expose d’autre part un visage alternatif de cette même ville ».